L’étude menée par C Lorand, C Bessa-Gomes et collaborateurs indique que, bien que les caractéristiques des conflits avec les grands carnivores soient fortement influencées par le contexte local et l'espèce, les principaux problèmes sont la déprédation du bétail, le partage de l'espace et les attaques contre les humains.
Nicolas Delpierre et co-auteurs ont étudiés 78 forêts à travers le monde. Ils montrent un découplage temporel généralisé entre l'assimilation du carbone et la croissance des arbres.
Les échanges génétiques entre chromosomes sont bénéfiques sur le long terme, car ils permettent une sélection efficace.
L’étude menée par T. Giraud et collaborateurs montre que les abricotiers cultivés chinois et européens forment deux groupes génétiques différenciés, qui résultent d'événements de domestication indépendants.
Elena Angulo, Christophe Diagne, Liliana Ballesteros-Mejia, Franck Courchamp et collaborateurs ont montré avec l’exemple du coût économique des espèces exotiques envahissantes, la nécessité de ne pas négliger les langues non-anglaises dans les synthèses ou méta-analyses globales.
C. Diagne, A.-C. Vaissière, F. Courchamp et collaborateurs se sont intéressés aux coûts économiques des espèces envahissantes. Ils ont estimé ce coût à 162,7 milliards de dollars pour l’année 2017.
Grâce à des analyses génétiques, Tatiana Giraud et ses collaborateurs ont découvert qu’une seule espèce de mildiou est à l’origine de l’invasion qui a eu lieu il y a 150 ans en Europe.
L'Océan Austral est acteur majeur dans la régulation du climat, via la pompe biologique qui assure la fixation de CO2 et son export vers le fond de l'Océan où il est séquestré.
La moisissure qui recouvre les Camembert et les Brie est issue de deux évènements de domestication successifs, le dernier ayant conduit à une moisissure blanche et duveteuse produisant peu de toxines.
Purificación López-García et David Moreira revisitent leur hypothèse de la Syntrophie.
