La science parle-t-elle seulement en anglais ?
Elena Angulo, Christophe Diagne, Liliana Ballesteros-Mejia, Franck Courchamp et collaborateurs ont montré avec l’exemple du coût économique des espèces exotiques envahissantes, la nécessité de ne pas négliger les langues non-anglaises dans les synthèses ou méta-analyses globales.