L’équipe, dirigée par les microbiologistes du CNRS Purificación López-García et David Moreira, a visité plusieurs salines et sources chaudes du désert d’Atacama au Chili, à environ 4 000 m d’altitude, où elle a prélevé des échantillons des eaux salées des lagons et des eaux brûlantes des geysers. Ces écosystèmes abritent certains des microorganismes les plus extrêmophiles, qui sont adaptés à la vie dans des concentrations élevées de sel, avec des quantités importantes de lithium et d’arsenic. Cette recherche devrait révéler de nouvelles espèces extrêmophiles et aider à comprendre leurs adaptations moléculaires à des conditions aussi difficiles.

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